Elle foulera les planches de la salle Desjardins ce vendredi 29 janvier, à 20 h. Le public pourra entendre son premier album solo, There Will Be Stars, dans lequel on ressent autant de joie de vivre que de mélancolie. Cet album est né d’un travail et de recherches qui auront duré quatre ans. De nature assez mélancolique, la chanteuse a donc créé des chansons pop qui côtoient d’autres aux penchants folk. Le fruit de son labeur a vu le jour grâce à la collaboration, notamment, du réalisateur Éloi Painchaud, Antoine Gratton, Martin Léon et Fredric Gary Comeau, qu&#8217;elle a connu à son arrivée à Montréal et dont elle a adapté la chanson Nothing In This World Is Free. 
Ayant amorcé sa carrière au sein du duo Taima, qu&#8217;elle a fondé en 2001 avec le guitariste et compositeur Alain Auger, Elisapie Isaac chante en inuktitut et en anglais. L&#8217;unique chanson en français, Moi, Elsie, est un cadeau de l’auteur-compositeur Richard Desjardins. Il s’est inspiré d’une idée de l’artiste: une fille du Nord écrit à un homme blanc qui la quitte alors qu&#8217;elle aurait tellement le goût qu&#8217;il l&#8217;amène à Montréal ou à Paris. 
Elisapie Isaac est née d&#8217;une mère inuk et d&#8217;un père originaire de Terre-Neuve. À sa naissance, elle est adoptée par une famille inuit qui l&#8217;élèvera selon cette culture. Une histoire qui colore les chansons de l’artiste également cinéaste, documentariste engagée et jeune maman. Les billets sont en vente au coût de 25 $. Renseignements et réservation: 450-974-ARTS (2787) ou www.lapetiteeglise.com .

La chanteuse inuk Elisapie Isaac présente son nouvel album

Aussi, on retrouvera sur scène le maire de Saint-Eustache, Pierre Charron, qui accompagnera le groupe de musique à la guitare lors d’une chanson, tout comme André Roy, directeur des relations publiques pour les hebdos L’ÉVEIL et LA CONCORDE, qui renouera pour l’occasion avec sa guitare Gibson. En première partie, les gens présents pourront entendre un témoignage d’Anne-Marie Goyette, une Eustachoise d’origine haïtienne, bien connue du milieu communautaire. 
Intitulé De Saint-Eustache à Haïti, ce spectacle-bénéfice se déroulera au Centre d’art La petite église, à compter de 20 h. Les billet, en vente au coût de 20 $ chacun, sont en vente dès maintenant au Service des arts et de la culture, situé au 275, rue Saint-Eustache, ou en téléphonant au 450-974-ARTS (2787). Des billets sont aussi disponibles au comptoir du Saint-Eustache Multiservice (SEM), situé au premier étage de la mairie de Saint-Eustache au 145, rue Saint-Louis. 
En plus de ce spectacle-bénéfice, les employés de la Ville de Saint-Eustache, également sensibles à la situation que vivent les Haïtiens à la suite de ce tremblement de terre, ont décidé de recueillir, du 25 janvier au 4 février, des fonds à travers l’ensemble des services municipaux. Pour sa part, la Ville de Saint-Eustache contribuera financièrement en remettant le même montant que celui recueilli par l’entremise de ces deux activités. 
La totalité des sommes amassées sera versée au fonds «Tremblement de terre en Haïti» mis sur pied par la Croix-Rouge canadienne, division Québec, au lendemain de cette catastrophe qui, selon les estimations, affecte pas moins de trois millions de personnes, dont 200 000 sont sans abri. Il est à noter que le montant qui sera remis sera dévoilé lors du spectacle-bénéfice. 
«Ce spectacle-bénéfice constitue une occasion unique pour nos citoyens de se réunir et d’agir ensemble pour le mieux-être des sinistrés, preuve que malgré les milliers de kilomètres qui nous séparent, Saint-Eustache peut tout de même tendre la main à Haïti», a mentionné le maire de Saint-Eustache, Pierre Charron.

Un spectacle-bénéfice pour venir en aide aux Haïtiens

Dans un communiqué remis au représentant de L’ÉVEIL à l’hôtel de ville marthelacquois, M. Racine, après cette annonce, a voulu remercier les citoyens du district électoral numéro 6 pour leur vote de confiance. Puis, M. Racine a précisé ce qui suit: «Il est évident que, tout au long de la campagne électorale, je n’avais aucun doute que mon équipe serait également élue. Aussi, je respecte le fait que la population a décidé de faire confiance à Mme Sonia Paulus et à ses candidats. Pour ceux qui l’ignorent, j’ai connu une très belle carrière comme policier à la Ville de Laval; je suis marié depuis plus de 30 ans et nous avons deux merveilleux garçons. Je me suis lancé activement en politique pour servir la population, mais également pour m’impliquer dans mon milieu.»
De plus, M. Racine a souligné l’accueil cordial de Mme Paulus, de ses cinq conseillers ainsi que de tous les employés municipaux à son égard. «La mairesse m’a confié des responsabilités, a poursuivi M. Racine, et j’ai le sentiment que mes opinions seront respectées. Au cours des dernières semaines, j’ai remercié M. Amann pour avoir cru en moi et pour m’avoir donné de précieux conseils. Après mûres réflexions, je lui ai fait part de mon intention d’agir dorénavant à titre de conseiller indépendant.»
En terminant, M. Racine a voulu rassurer les résidants de son district électoral «de sa disponibilité, de son écoute et de son intention à faire avancer les dossiers qui le préoccupent et ceux qui lui seront confiés».