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Basses-Laurentides refuse: Baisse des frais du compteur non communicant

Basses-Laurentides refuse: Baisse des frais du compteur non communicant

Publié le 15/12/2014

La porte-parole de Basses-Laurentides Refuse, Maria Acosta, tient à informer la population des Basses-Laurentides que la Régie de l’Énergie ayant désormais baissé les frais de l’option de retrait concernant les compteurs, les citoyens intéressés par cette alternative pourront bénéficier d’une réduction des frais de relève qui passeront à 5 $ au lieu de 17 $ (pour le compteur non communicant), ainsi qu’une baisse temporaire des frais d’installation pour les gens possédant un compteur intelligent qui désirent passer à un compteur non communicant.

Dans une longue lettre envoyée à nos bureaux, Mme Acosta soutient que de nouveaux cas d’électrohypersensibilité (EHS) se sont manifesté depuis le déploiement des compteurs de nouvelle génération et l’installation des antennes G4, tandis que les symptômes déjà existants de ceux qui souffrent de EHS se sont accrus.

Le cas de José Lévesque

Nous avions déjà parlé dans nos journaux du cas d’électrohypersensiblité extrême de José Lévesque, un ancien technicien en télécommunication obligé de quitter son emploi en raison de graves problèmes de santé reliés aux ondes. Aujourd’hui, José Lévesque voit sa santé se détériorer depuis qu’un routeur a été installé dans sa rue.

«Si José est exposé à ces ondes plus d’une heure, il commence à ressentir de faux vertiges, maux de tête, douleurs aux oreilles et acouphènes. Après quelques heures d’exposition au Wi-Fi, il peut saigner du nez et des yeux, et perdre sa capacité de s’exprimer clairement. Cela peut aller jusqu’à la perte de conscience, voire la mort par hémorragies internes», écrit la porte-parole de Basses-Laurentides refuse.

Un retour aux sources?

Selon la porte-parole, la solution résiderait dans le retour à l’Internet filé. Pour ce qui de l’utilisation du sans-fil, elle recommande que les citoyens soient informés des principes de précaution à appliquer. Chiffres à l’appui, Mme Acosta soutient que 3 % de la population éprouveraient une EHS extrême, 35 % vivraient avec une EHS modérée, tandis que le reste de la population serait asymptomatique.

«Si vous avez besoin de me rencontrer, de rencontrer José (qui se met disponible lui-même pour une étude sérieuse), communiquez avec moi et nous viendrons. Je ne suis qu’une simple biologiste très bien informée, alors si vous préférez discuter avec un expert, je peux organiser des vidéoconférences (via Skype) avec des chercheurs spécialisés dans les effets biologiques des CEM», invite-t-elle.

Pour rejoindre Maria Acosta: 450 939-4549; basses-laurentides-refuse@videotron.ca; [facebook.com/BassesLaurentidesRefuse]; [basseslaurentidesrefuse.com].