Organisé dans le cadre de la Journée internationale des femmes, ce dîner est une occasion unique de célébrer le leadership féminin, de promouvoir l&#8217;échange d&#8217;idées et de créer des liens entre les femmes influentes de la communauté. La présence de Mme Issany promet d&#8217;enrichir ce moment par ses connaissances, son inspiration et ses conseils avisés.



En effet, Zarah Issany est une figure éminente dans le monde professionnel, apportant avec elle une expertise et une expérience diversifiées de plus de 20 ans. Formatrice agréée, co-auteure des ouvrages renommés «&nbsp;La Puissance des mots en affaires&nbsp;» et «&nbsp;La Puissance des mots en entreprise&nbsp;», consultante experte à EntreChefs PME, enseignante en Lancement d’entreprise, conférencière et coach, elle a su se démarquer par son engagement et sa contribution significative au monde des affaires.



Diplômée d&#8217;HEC Montréal en administration, en relation d&#8217;aide et en enseignement auprès des adultes, Mme Issany a travaillé dans divers secteurs, tant privés que publics, ainsi que dans des organisations à but non lucratif, à Montréal et à l’international.



<h2>Un rendez-vous attendu</h2>



Le Dîner de la femme de la CCI2M peut compter sur le soutien de plusieurs partenaires locaux. À noter d’ailleurs que le repas sera, pour cette occasion spéciale, préparé par le restaurant Le Géraldine, récipiendaire du prestigieux Prix Restaurateur Aliments du Québec.



Il est toujours possible de<a href="http://www.chambrecommerce.com/activite/diner-de-la-femme-2024/" target="_blank" rel="noreferrer noopener"> se procurer des billets </a>pour cet événement attendu.

Mirabel économique est un service de la Ville de Mirabel. Il est présent pour assurer la croissance économique sur le territoire. Mme Dell’Aniello y travaille depuis presque trois ans.



« J’ai un parcours en tant qu’accompagnatrice financière », confirme-t-elle en énumérant les étapes de son parcours. Dans ses expériences passées, on compte des banques, de la tenue de livres et une compagnie personnelle de comptabilité. L’enseignement et le support au niveau du lancement d’entreprise ont également fait partie de ce qu’elle a accompli. « C’est ce qui m’a menée au développement économique », ajoute-t-elle.



<h2>Travailler et vivre à Mirabel</h2>



Lors de la pandémie, elle travaillait pour la MRC de Thérèse-De Blainville, cherchant des solutions de soutien pour les entrepreneurs de la région. « Quand un poste s’est ouvert à Mirabel en juin 2021, j’ai transféré », soutient la Mirabelloise.



« J’ai vu la ville grandir et j’ai un grand sentiment d’appartenance », explique-t-elle quant à son choix de travailler pour sa municipalité. Le dynamisme de Mirabel et de son équipe de travail la pousse à se renouveler constamment.



« Je veux sortir de la boîte, sortir de ce qui a été fait. Simplement dans un processus d’amélioration », souligne Annie&nbsp;Dell’Aniello. Une activité organisée en février dernier appuie d’ailleurs ses dires, ayant croisé le milieu aéronautique avec celui de l’économie circulaire. « On parle d’innovation, mais ça passe aussi par les façons de faire », fait-elle valoir.



Pour ce faire, elle veut être à l’écoute de chacun des partenaires du territoire et mettre en relation tout un chacun afin de donner plus de résultats et aider la ville à grandir.



« Mirabel est en croissance continue. C’est un territoire fertile et il y a beaucoup de choses à faire dans tous les domaines », affirme-t-elle. Dans sa vision, chaque chose peut être prise et amenée à un niveau supérieur. Et bien sûr de s’assurer de le faire le plus proprement possible en pensant au futur. Une vision qui va de pair avec celle de la Ville en général.



« Je suis vraiment sur mon X. Et pourtant, je ne savais même pas que ça existait le développement économique quand j’ai fait mes études », conclut Annie Dell’Aniello. Se projetant dans l’avenir, elle a plusieurs idées de ce qu’elle pourrait faire pour aider à faire croître davantage sa ville.

Annie Dell’Aniello : penser l’économie locale autrement

La nouvelle, relayée lundi et et ce mardi 20 février par certains médias montréalais, a été confirmée par une porte-parole de l’entreprise, Alexandrine Gauvin, citée par Radio-Canada et Le Devoir dans des reportages. Il s’agit d’un peu plus de 9 % des 1 350 employés que compte à ce jour Nova Bus au Québec et qui sont regroupés majoritairement à Saint-Eustache, mais aussi à Saint-François-du-Lac.



« Conformément à l&#8217;annonce de la fermeture de notre usine à Plattsburgh en juin dernier, Nova Bus a décidé de revoir son modèle d&#8217;affaires afin de se recentrer sur le marché canadien. Cette décision nous oblige à adapter la taille de notre organisation à cette nouvelle réalité pour devenir une entreprise plus rentable et compétitive&nbsp;», a ainsi fait valoir par courriel Mme Gauvin, au journal Le Devoir.



<h2>Les conséquences d’une fermeture aux États-Unis</h2>



En juin 2023, Nova Bus avait annoncé, d’ici 2025, la fermeture de son usine d’assemblage et son centre de livraison de Plattsburgh, ouverts officiellement en juin 2009 pour y fabriquer des autobus destinés au marché américain.



Conséquence de cette fermeture&nbsp;: la production en Amérique du Nord se ferait désormais dans les installations de Nova Bus situées à Saint-Eustache et à Saint-François-du-Lac. Déjà, à ce moment, l’entreprise avait laissé entrevoir que «&nbsp;la décision de cesser la production d’autobus aux États-Unis et de se concentrer sur le Canada [allait affecter] graduellement les postes à temps plein chez Nova Bus, et ce, d’ici 2025.&nbsp;»



L’annonce de cette restructuration suivait de quelques semaines seulement l’obtention, en mai 2023, d’un méga contrat de construction de 1&nbsp;229&nbsp;autobus urbains à propulsion électrique, d’une valeur de 2,1&nbsp;G$, à être livrés à neuf sociétés de transport membres de l&#8217;Association du transport urbain du Québec (ATUQ), dont celles de Laval et de Montréal, ainsi qu’au transporteur exo. Le contrat en question, dévoilé en grande pompe à l’usine de Saint-Eustache, consistait en une commande ferme pour 339&nbsp;autobus LFSe+; les 890&nbsp;autres étant autant d’options à être exercées par l’ATUQ, une manière de faire connue dans ce domaine d’activités.



Selon les chiffres fournis à ce moment, Nova Bus comptait alors sur 850 employés à Saint-Eustache et sur 350 autres à Saint-François-du-Lac, pour un total de 3 200 employés.

Dîner de la femme: la CCI2M accueillera Zarah Issany

Un rendez-vous attendu