Il faut mentionner qu&#8217;en plus d’avoir la chance de rencontrer les pompiers sur place et de voir de près leur beau camion, les petits et les grands qui auront fait un don de jouets, auront droit à une boisson chaude et une gâterie.
Les jouets recueillis seront acheminés au plateau de travail Joujou Récup-R, qui emploie des personnes présentant une déficience intellectuelle ou un trouble du spectre de l’autisme. Ces dernières se chargeront d’inspecter et de nettoyer les jouets qui sont ensuite revendus à prix modique à la boutique.
Les jouets, jeux de société, figurines, livres, poupées et autres du même acabit sont privilégiés. Par contre, les peluches ne sont pas acceptées.
Projet Répit
Tous les profits réalisés par la vente de ces jouets sont versés au projet Répit, qui vient en aide à des enfants de familles à faible revenu de notre région. Le projet Répit permet à ces enfants de participer à des camps de vacances et de se procurer des fournitures scolaires pour la rentrée. Depuis ses débuts en 1997, Répit a aidé plus de 9 500 enfants.
Joujou Récup-R est un plateau de travail issu d’une initiative du Centre du Florès en collaboration avec la Table de concertation sur la pauvreté tandis que Répit est un projet de la Table de concertation sur la pauvreté MRC Deux-Montagnes et administré par le Centre d’entraide Racine-Lavoie.

Ces changements s’inscrivent dans cette volonté, au Groupe JCL, de procéder à un repositionnement stratégique de ces publications, et ce, autant pour le bénéfice de nos lecteurs que de nos annonceurs.
En plus de la section «Quoi faire» , devenue un incontournable auprès de notre lectorat depuis son lancement en juin, L’ÉVEIL renouvelé du mercredi contiendra, entre autres, des cahiers thématiques revisités, une section de sports revampée et bien sûr un contenu bonifié, avec plus de pages, calqué sur l’actualité régionale.
Le fait de ne distribuer désormais qu’une seule édition par semaine sur le territoire des MRC de Deux-Montagnes et de Mirabel contribuera, nous en sommes convaincus, à renforcer la position de leader de L’ÉVEIL dans ce marché en constante évolution.

Repositionnement stratégique pour L’ÉVEIL

Une entente négociée
La négociation des 26 matières locales a été imposée par la fusion des établissements issue de la réforme Barrette et de la loi 10. Ainsi, 25 conventions locales devaient être unifiées et harmonisées pour plus de 6 200 travailleurs.
Dès le départ, le syndicat avait pour objectif d’en arriver à une entente négociée et non imposée par le gouvernement. Douze mois de négociation auront été nécessaires avec, comme priorité, de contrer les demandes initiales de l’employeur qui souhaitait avoir la latitude d’affecter le personnel n’importe où sur l’ensemble du territoire des Laurentides.
 «La fusion des établissements, donc du territoire de travail, de la région des Laurentides, a vite mis de l’avant la nécessité de définir le port d’attache d’un salarié sans quoi n’importe qui aurait pu se voir obligé de travailler n’importe où, entre Lachute et Mont-Laurier», explique Marie-Claude Ouellette, vice-présidente du syndicat.
Elle ajoute: «Nous avons réussi à introduire la notion de port d’attache pour chacun des postes et de limiter la distance de déplacement à 41 km». Pour le syndicat, dans un contexte où 50 % du personnel doit déjà composer avec des horaires à temps partiel, il était inconcevable que l’on puisse exiger de celui-ci d’augmenter le temps obligatoire de disponibilité, sans garantie d’heures, en plus d’imposer des distances de déplacement à la grandeur du territoire.
Des avancées et des défis
Le syndicat estime avoir réussi à négocier les matières relevant du fonctionnement local ou régional de manière à protéger le plus grand nombre des effets néfastes conséquents aux fusions.
Ainsi, la création de postes d’autosuffisance pour stabiliser les équipes de travail, la clarification de plusieurs dispositions afin de favoriser la création de postes à temps complet, la mise sur pied d’un projet pilote en CHSLD pour la gestion du temps supplémentaire et la pénurie de main-d’œuvre, la reconnaissance des acquis pour l’obtention d’un poste en remplacement et la mise en place de balises dans le mécanisme de supplantation, sont au nombre des avancées conclues par le comité de négociation.
«Bien entendu, l’application correcte et sensée de cette nouvelle entente demeure un défi dans un contexte où le pouvoir de gestion est centralisé et trop souvent ignorant de la réalité dans les établissements. Nous sommes prêts à relever ce défi et nous nous attendons à ce que le CISSS des Laurentides manifeste la même volonté » , affirme Dominic Presseault, président du syndicat,
Luce Melançon, vice-présidente régionale de la Fédération de la santé et des services sociaux (FSSS-CSN) et Chantal Maillé, présidente du Conseil central des Laurentides – CSN (CCSNL-CSN) souhaitent d’abord féliciter le STTLSSS-CSN pour son immense travail et confirment que la CSN et ses organismes continueront de défendre le réseau public de la santé et des services sociaux devant le nouveau gouvernement caquiste, qui s’est affiché ouvertement en faveur de la privatisation des services publics.

Une collecte de jouets pour une bonne cause à Saint-Eustache