Ces travaux entraîneront la fermeture complète d’une direction de la route 344; aucun détour n’est cependant prévu, car la circulation s’effectuera en alternance dans la direction opposée.



Ces travaux pourraient être reportés, prolongés ou annulés en raison de contraintes opérationnelles ou des conditions météorologiques défavorables. Afin de connaître les entraves en cours, il est conseillé de consulter le <a href="https://www.quebec511.info/fr/default.aspx">Québec 511</a>, un outil pratique pour planifier adéquatement vos déplacements.



Pour toute question ou tout commentaire, il est possible de communiquer avec le <a href="http://www.transports.gouv.qc.ca/nous-joindre">http://www.transports.gouv.qc.ca/nous-joindre</a>.



Enfin, pour connaître les fermetures majeures de fin de semaine dans la région métropolitaine de Montréal, il est possible de s’abonner <a href="https://app.infolettres.transports.gouv.qc.ca/clients/46755/subscribe-forms/7C4D23DC-6271-4706-8C4E-0E08791A1F4B">à l’infolettre de Mobilité Montréal</a>.

Placée sous le thème «&nbsp;Les cuisines collectives changent notre monde&nbsp;», cette journée, qui se déroule aujourd&#8217;hui même, ce mardi 26&nbsp;mars, met en lumière l&#8217;impact positif de ces regroupements sur la vie de nombreuses personnes à travers le Québec.



Face aux défis actuels, les organismes proposant des activités de cuisine collective font preuve de créativité, de débrouillardise et de résilience pour soutenir les participants. Ces initiatives vont au-delà de la simple préparation de repas; elles tissent des liens sociaux, favorisent le partage des ressources et renforcent la solidarité au sein des communautés.



<h2>Le droit universel à l&#8217;alimentation</h2>



Le Centre d&#8217;entraide Racine-Lavoie, organisme régional communautaire au service de la collectivité depuis 1972, réunit ses membres autour de quatre étapes clés (planification, achat, cuisson et évaluation) et leur offre la possibilité de cuisiner dans un environnement bienveillant et accueillant.



Au-delà de la simple autonomie alimentaire, les membres s&#8217;engagent à défendre le droit universel à l&#8217;alimentation. Le Centre s&#8217;engage pleinement dans cette démarche collective à travers ses activités de cuisines collectives et de préparation de boîtes à lunch scolaires.



En 2023, les cuisines collectives du Centre ont permis la création de 5 421 portions réparties entre les participants, ainsi que la préparation de 11 500 lunchs scolaires.



Depuis 1997, cette journée est célébrée au Centre d’entraide Racine-Lavoie afin de souligner l’importance des cuisines collectives comme solution alimentaire et comme alternative à l’isolement et à la solitude. C&#8217;est également une occasion de sensibiliser le grand public, la presse et les autorités gouvernementales à l&#8217;importance de promouvoir et de protéger le droit à l&#8217;alimentation pour tous, chaque année.



Le Centre d’entraide Racine-Lavoie est situé au 154, rue Dorion, à Saint-Eustache, et dessert le territoire de la MRC de Deux-Montagnes et la partie sud de Mirabel. Pour en savoir davantage sur l’organisme et les services offerts&nbsp;: <a href="http://www.entraideracinelavoie.org">www.entraideracinelavoie.org</a> et <a href="http://www.facebook.com/centreentraideracinelavoie">www.facebook.com/centreentraideracinelavoie</a>.

Célébration de la Journée nationale des cuisines collectives

Ce n’est un secret pour personne&nbsp;: les excès de vitesse sont chose courante. Les routes de campagnes en deviennent souvent plus dangereuses et les accidents, plus fréquents. Sur la route&nbsp;148, certaines intersections sont donc actuellement ciblées par des études du ministère des Transports du Québec (MTQ) histoire de les rendre plus sécuritaires.



La route&nbsp;148 et les rangs St-Vincent, St-Simon et St-Rémi sont bien présents dans les « Les quatre intersections sont en étude. Mais c’est surtout au niveau de l’acquisition et la protection du territoire agricole qui fait qu’on n’a pas les idées complètement arrêtées », affirme Maxime Coursol, conseiller aux communications du MTQ. La Commission de la protection du territoire agricole (CPTAQ) est donc dans le dossier.



La solution pour réaménager les intersections se trouve à en faire des carrefours giratoires. Pour une route de campagne, ceux-ci permettent de ralentir le trafic sans pour autant l’arrêter complètement. « Il y a toujours un risque sur les routes de ce genre-là qu’il y ait refoulement si la lumière rouge se présente longtemps », confirme le représentant du MTQ. Cependant, un tel projet demande l’élargissement de l’intersection et donc d’empiéter sur le territoire agricole.



<h2>Un suivi des différents dossiers</h2>



L’intersection entre la route&nbsp;148 et le rang St-Étienne a particulièrement attiré l’attention du ministère. Dénombrant deux d’accidents mortels en 2019 seulement, elle a nécessité des solutions d’urgence. « On a suivi les recommandations des coroners. On a installé des panneaux d’interdiction d’arrêt et des bordures », souligne M.&nbsp;Coursol, expliquant que beaucoup de véhicules se stationnaient dans ce secteur.



C’est le projet le plus avancé, bien que des idées sont déjà à l’étude pour les intersections du rang St-Simon avec la route&nbsp;148 et le rang St-Rémi. Un préavis a d’ailleurs été fait pour ce qui touche le rang St-Rémi, mais le ministère attend une réponse plus officielle pour démarrer le projet.



L’avis de la CPTAQ pour l’intersection entre St-Simon et la 148 a été plutôt défavorable. « On est de retour à la table à dessin. On essaie de trouver le meilleur moyen pour renforcer la sécurité tout en répondant aux exigences », confirme le conseiller aux communications. Selon le projet tel que présenté au départ, une bande de terrain serait nécessaire afin d’agrandir l’espace et pouvoir aménager le carrefour giratoire. Selon les informations obtenues entre les branches, il serait ici question d’un problème d’accès à la terre si le MTQ prenait possession de cette bande de terre.



<h2>Quelques statistiques</h2>



Les données de la SAAQ montrent de nombreux accidents pour l’ensemble des points nommés, entre les années&nbsp;2017 et 2022. « Ce qu’on a le plus ce sont des dégâts légers et matériels », rassure Maxime Coursol. Malheureusement, les données de l’année&nbsp;2023 n’ont pas encore été transmises au MTQ.



L’intersection des rangs St-Rémi et St-Simon pose particulièrement problème. Bien qu’on n’y dénombre pas d’accidents mortels, c’est malgré tout l’endroit où il y a le plus d’accrochages de manière générale. Le MTQ prend au sérieux le dossier et affirme vouloir faire une différence dans les meilleurs délais.

Travaux routiers à Oka ce mercredi 27 mars