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«Le ministre doit prendre ses responsabilités dans le dossier de la mine!» – Sylvie D’Amours

Sylvie D’Amours, a rencontré le ministre des Ressources Naturelles, Pierre Arcand, en rapport aux préoccupations des citoyens de la région d’Oka face à un éventuel projet minier.

«Le ministre doit prendre ses responsabilités dans le dossier de la mine!» – Sylvie D’Amours

Publié le 24/04/2017

À la suite de sa motion à l’Assemblée nationale bloquée par le gouvernement libéral, la députée de Mirabel, Sylvie D’Amours, a rencontré le ministre des Ressources Naturelles, Pierre Arcand, en rapport aux préoccupations des citoyens de la région d’Oka face à un éventuel projet minier.

Après plusieurs envois et communications au cabinet ministériel, le dépôt d’une pétition puis une motion bloquée par les libéraux au Salon bleu, il est plus que temps que le ministre constate le mouvement d’unité de la population okoise explique la députée. «Lors de notre rencontre, je lui ai fait part de la nécessité qu’il rassure les citoyens qui, pour une deuxième fois en moins d’un an, se sont prononcés contre une mine à Oka» s’est exclamée Sylvie D’amours.

En effet, le 12 avril dernier, la députée caquiste avait pris les devants en présentant une motion à l’Assemblée nationale qui viendrait rassurer les Okois dans leurs démarches estime la critique en matière de famille. Cette motion fut rejetée du revers de la main par le gouvernement libéral alors qu’ils auraient dû l’appuyer croit-elle «Le ministre Arcand doit maintenant prendre ses responsabilités, se préoccuper de ce dossier et apaiser les craintes des gens qui en ont assez de se battre contre un projet plusieurs fois rejeté au fil des ans. Le message est clair: les citoyens sont contre une mine!» tonne la députée de Mirabel.

«La balle est maintenant dans le camp du ministre Arcand. Bien qu’il m’ait indiqué qu’il suivrait la situation avec grand intérêt, je m’attends à plus de sa part. C’est à lui de mettre fin une bonne fois pour toutes à ce dossier en répondant aux inquiétudes du maire, de la MRC, mais surtout, à celles des citoyens.» termine Mme D’Amours.