La Commission de la culture fait partie d’un ensemble de dix commissions permanentes qui étudient les projets de loi, les crédits budgétaires ainsi que les orientations, les activités et la gestion des organismes publics. Les dossiers traités par cette commission sont la culture, la communication, les communautés culturelles, l’immigration et les relations avec les citoyens. Élément central des institutions parlementaires, la Commission est l&#8217;unité de base par laquelle une dizaine de députés exercent, au nom de l&#8217;Assemblée nationale, la double fonction de législation et de contrôle. 
«Je suis très enthousiaste à l’idée de participer à la Commission de la culture. On y traitera des dossiers qui font la richesse de notre nation, mais aussi d’immigration et de communautés culturelles, des éléments essentiels pour façonner le Québec de demain», a mentionné le député Benoit Charette. 
Pour ce qui est de la Mission sociale et Mission jeunesse, il a commenté ainsi: «Les deux missions ont pour but de développer et de maintenir des relations avec les différents milieux de vie qui animent la société québécoise. C’est un outil à la fois original et pratique que nous nous donnons comme formation politique afin de demeurer brancher sur les attentes et les besoins de la population et des organisations.»
Benoit Charette est ainsi désigné comme représentant officiel auprès de la communauté haïtienne et des organisations destinées aux 16-35 ans comme les Carrefours jeunesse-emploi et les Forums jeunesse. 
«Je suis, ajoute-t-il, très honoré de la confiance que me témoigne notre chef Pauline Marois. Elle m’a confié des dossiers qui rejoignent mon parcours professionnel et personnel. C’est avec fierté que je relèverai ces nouveaux défis.»
Bureau de circonscription
Depuis le début de janvier, le député Charette a érigé son bureau de circonscription électorale au même endroit que ses prédécesseurs, nommément Hélène Robert et Lucie Leblanc. L’adresse est le 15, chemin de la Grande-Côte, bureau 105, à Saint-Eustache. Le numéro de téléphone est le 450-623-4963. 
«J’ai choisi de maintenir le bureau de circonscription au même endroit. Il est très bien positionné et accessible à tous. Comme personnel politique, je me suis entouré de gens qui me ressemblent et qui partagent le même enthousiasme à servir leurs concitoyennes et leurs concitoyens. Les élections sont derrière nous, et je suis d’abord le député de tous les électeurs», a terminé le député de Deux-Montagnes.

Le député Benoit Charette désigné au sein de la Commission de la culture

Derrière eux, un pan de mur complet exhibant un paysage multicolore. Et partout, des statuettes de Bouddha. Bienvenue, non pas en Thaïlande, mais à Fabreville, au Temple bouddhiste laotien où vivent en permanence cinq moines. Seul anachronisme de cet endroit aux saveurs orientales, les quelques appareils de musculation, au sous-sol du Temple, qui font figure d’un siècle résolument avant-gardiste.
Entourés des siens
Vivant en permanence au Temple, les moines sont accompagnés par une soixantaine de familles laotiennes résidant toutes à Boisbriand. À tour de rôle, elles assurent, entre autres, le seul et unique repas quotidien de ces derniers. 
D’ailleurs, déjà, vers 10 h 30, montent des effluves appétissants du sous-sol du Temple. D’ici une heure, les cinq moines savoureront une quantité phénoménale de mets chinois, laotiens, et même thaïlandais. Un repas savoureux auquel prendra part l’auteure de ces lignes sur invitation expresse des moines, il va sans dire!
Il faut savoir qu’il existe une quantité impressionnante de pratiques du bouddhisme. Ici, dans ce coin de Laval, on honore le bouddhisme Theravara. Et assurément, le yoga. L’un n’allant pas sans l’autre, n’est-ce pas?
Fou rire général chez les moines. La question semble même avoir déclenché un concert d’exclamations joyeuses impossibles à déchiffrer. Les aventures de Tintin au Tibet ont dû contribuer à faire croire que tous les moines se ressemblaient. 
«Le yoga provient du Tibet, explique VEN-Soulit Panboon, tentant de refréner un troisième éclat de rire. Le Theravara se pratique avec de la méditation. C’est l’esprit seulement qui travaille. On a tendance à croire que le bouddhisme s’accompagne automatiquement du yoga, ce qui est faux.»
Vocation
VEN-Soulit Panboon a 35 ans. Il a choisi lui-même de devenir moine. 
«C’est à partir de 10 ans que l’on peut devenir moine. Pour cela, on se rend au temple bouddhiste où l’on est novice, et on apprend à écrire. Moi, c’est à l’âge de cinq ans que j’ai été attiré par la moinerie.»
Partout dans le Temple, des cadres sont accrochés aux murs. On y relate la naissance du bouddhisme, celle de Bouddha ainsi que son histoire. Toutes les gravures proviennent de la Thaïlande. Cette fierté met un sourire dans les yeux de Manivanh Suryadhay Douangmala, une Laotienne de Boisbriand jouant le rôle d’interprète pour les besoins de ce reportage. On y apprend, entre autres, que l’enseignement de Bouddha appelle à trois éléments principaux: éviter de faire du mal, essayer d’accomplir de bonnes choses et garder un esprit pur.
Pour le moment, une certaine candeur semble régner dans ces lieux ainsi que la bonne humeur. Et l’odeur appétissante qui monte sans cesse du sous-sol s’avère un incontournable dans l’entrevue: il faut cesser un moment&#8230; le temps de se restaurer.

Incursion chez des bouddhistes

À la séance ordinaire du mois, le mercredi 14 janvier dernier, en la salle des délibérations de l’hôtel de ville, sous la présidence de Mme la mairesse Sonia Paulus, au moins deux conseillers indépendants ont discuté de ces projets. Ainsi, tel que rapporté dans L’ÉVEIL de la semaine dernière, M. le conseiller Richard Goudreault, du district électoral numéro 2, a demandé et obtenu une séance extraordinaire qui sera tenue le lundi 26 janvier prochain, à 20 heures, à l’hôtel de ville marthelacquois, afin de discuter de ces deux projets et surtout d’exiger les vrais chiffres de la Ville de Deux-Montagnes pour ses travaux de modernisation. Pour sa part, M. le conseiller Olivier Hamel, du district électoral numéro 3, s’est aussi questionné sur ces deux travaux et il a appuyé son collègue afin d’obtenir les vrais chiffres avant de prendre une décision. 
Permis de construction
Après les questions des conseillers municipaux, un citoyen, M. Denis Pilon, a voulu connaître le nombre de permis de construction émis par la Ville en 2008. La Ville a accordé 290 permis pour des constructions nouvelles et 914 permis pour des rénovations. 
Tricentris
Nos lecteurs savent déjà que Tricentris, centre de tri, éprouve des difficultés financières. Pour l’année 2008, la Ville a donc accepté de verser un montant supplémentaire de 11 919 $.