Celle-ci avait célébré, le 27 octobre dernier, ses 100 ans lors d’une réception donnée en son honneur. Entre autres, Mme Prud’homme Constantin était entourée (notre photo) à ce moment de ses six enfants, Céline, Michel, Diane, Marguerite, Gilles et André, de ses 14 petits-enfants, ses 30 arrière-petits-enfants, ses quatre arrière arrière-petits-enfants, ainsi que de ses sœurs Monique, Hélène, Claire, Larette et de son frère Gilles ; autant de personnes qu’elle laisse dans le deuil.



« En plus de tout ce beau monde, elle laisse dans le deuil une cabane qui l’aime autant qu’elle l’a aimée : SA cabane », peut-on lire sur la page Facebook de la Cabane à sucre Constantin.



Sa famille recevra les condoléances le lundi 20 février, de 13 h à 17 h et de 18 h à 21 h, et le mardi dès 10 h au Complexe funéraire Goyer (147, boulevard Arthur-Sauvé, Saint-Eustache).



Quant aux funérailles, elles auront lieu le mardi 21 février à 14 h en l’église Saint-Eustache et seront suivies de l’inhumation au cimetière du même endroit.



Des dons à la Fondation Hôpital Saint-Eustache ou à la Fondation du Manoir Saint-Eustache seraient appréciés en guise de marques de sympathies.

Près de 1 000 participants relèvent le défi dans la région, pour un total de 51 253 $ amassés jusqu’à présent pour la cause de la prévention des dépendances.



Cela représente 4 668 jeunes potentiellement rencontrés puisque, pour chaque tranche de 28 $ en don, l’équipe de la prévention peut rencontrer deux jeunes.



À noter qu’il est toujours possible de faire un don ou de parrainer un participant&nbsp;:&nbsp;<a href="http://www.defi28jours.com" target="_blank" rel="noreferrer noopener">www.defi28jours.com</a>.

Défi 28 jours sans alcool: les Laurentides en quatrième position

Un bail de trois ans, avec option de renouvellement, a en effet été conclu entre le Groupe Langlois, propriétaire du bâtiment où logera la friperie La Boutik, et le Centre Marie Eve, le 2 février dernier, à la grande satisfaction de la directrice générale de l’organisme, Isabelle Jorg.



«&nbsp;Après un 7-8 mois intensifs de recherche, c’est un très grand soulagement de pouvoir faire renaître La&nbsp;Boutik. Non seulement nous allons pouvoir continuer de rendre accessibles des articles à petits prix aux familles de la région, mais [cela va&nbsp;] aussi permettre d’amasser des fonds pour aider la mission du Centre Marie&nbsp;Eve&nbsp;»&nbsp;, se réjouie Isabelle Jorg, qui a dû se résoudre à fermer la friperie au mois d’octobre dernier, faute d’avoir trouvé un nouveau local adéquat.



<h2>Un local plus petit que celui recherché</h2>



<figure class="wp-block-image size-large"><img loading="lazy" width="960" height="640" src="https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2023/02/signaturebail-11fev2023_05-960x640.jpg" alt="" class="wp-image-83654" srcset="https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2023/02/signaturebail-11fev2023_05-960x640.jpg 960w, https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2023/02/signaturebail-11fev2023_05-327x218.jpg 327w, https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2023/02/signaturebail-11fev2023_05-96x64.jpg 96w, https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2023/02/signaturebail-11fev2023_05-768x512.jpg 768w, https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2023/02/signaturebail-11fev2023_05-615x410.jpg 615w, https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2023/02/signaturebail-11fev2023_05.jpg 1024w" sizes="(max-width: 960px) 100vw, 960px" /><figcaption>Photo Vincent Yergeau – C&#8217;est dans ce bâtiment, plus précisément au 143, rue Saint-Eustache, que logera la friperie La Boutik d&#8217;ici quelques semainres, nous montre ici Isabelle Jorg, directrice générale du Centre Marie Eve.</figcaption></figure>



Ce n’est tant la disponibilité de locaux qui faisait défaut, mais bien le prix demandé, qui se chiffrait entre 17&nbsp;$ et 20&nbsp;$ le pied carré. Cela signifiait un loyer d’environ 50 000&nbsp;$ à 60 000&nbsp;$ par année, alors que celui exigé pour le local de Deux-Montagnes, où logeait la friperie La&nbsp;Boutik depuis novembre 2018, s’élevait à 17&nbsp;000&nbsp;$ par année.



Si Mme Jorg est bien satisfaite du dénouement de ce dossier, elle a cependant dû opter pour un local beaucoup plus petit que celui recherché, et même que celui de Deux-Montagnes. «&nbsp;Or, avec la réalité du marché actuel, nous en sommes venus à la conclusion qu’il fallait faire des compromis et qu’il valait mieux avoir un local plus petit que rien du tout, surtout qu’il respecte notre budget&nbsp;! Ne plus avoir de friperie a plusieurs impacts en ce moment comme notre incapacité à recevoir des dons matériels en grand volume. Ce local est très bien situé et profitera de l’achalandage du Vieux-Saint-Eustache, notamment en période estivale&nbsp;», dit-elle, précisant que l’équipe de bénévoles de La&nbsp;Boutik devra revoir ses façons de faire, mais que «&nbsp;la clientèle ne devrait pas percevoir beaucoup de changements&nbsp;».



<h2>Une ouverture appréciée</h2>



Au nom de son entreprise, de son frère Serge et de sa sœur Claude, Michel Langlois s’est dit heureux d’accueillir le Centre Marie Eve dans ce local. « Disons que les négociations n’ont pas vraiment été dures. Je connais et nous connaissons bien la mission du Centre Marie Eve et, comme notre père Jean-Claude, c’est dans nos gênes que de soutenir des organismes du milieu », de commenter Michel Langlois qui, déjà, à titre de président d’honneur du Choco-Vin du Club Kiwanis Saint-Eustache en 2022, a appuyé l’organisme concrètement. Il avait alors choisi le Centre Marie Eve comme organisme bénéficiaire d’une somme de 5 000 $.



Pour sa part, la directrice générale mentionne qu’elle et son équipe ont grandement apprécié la disponibilité et l’ouverture que Michel Langlois a eues à leur égard. «&nbsp;Nous avons eu besoin de temps et il a été très à l’écoute. À travers le processus et à d’autres occasions, j’ai eu l’opportunité de voir que notre mission lui tient à cœur&nbsp;», signale Mme Jorg.



En plus du Groupe JCL, elle tient aussi à remercier toute la communauté qui a soutenu le Centre Marie&nbsp;Eve pendant cette recherche du local. «&nbsp;Nous avons senti une énorme vague d’amour et c’est ce qui nous a encouragé à ne pas abandonner même dans les moments de désespoir. J’aimerais également dire un merci particulier à Elizabeth Leroux, citoyenne très impliquée sur un groupe Facebook de Sainte-Marthe-sur-le-Lac, qui au courant de notre situation, nous a informé de la disponibilité de ce local&nbsp;», de conclure la directrice générale du Centre Marie&nbsp;Eve.

La famille Constantin en deuil de Jeannette Prud’homme Constantin