Rappelons que la mission du Centre est de promouvoir l’autonomie et le développement des individus, de même que le partage et la solidarité entre les citoyennes et les citoyens, dans la grande région de la MRC de Deux-Montagnes et de Mirabel Sud. Le Centre assiste les personnes et les familles dans la gestion de situations économiques difficiles, offre des activités ou des services qui habilitent les participants à améliorer leurs conditions de vie, et développe de concert avec les organismes du milieu, des services communautaires adaptés aux besoins de la population. 
La superficie de la maison a été doublée. Les sept employés du Centre d’entraide Racine-Lavoie se retrouvent dans des locaux mieux adaptés. De nouvelles salles sont disponibles pour les organismes et les bénévoles. Deux nouvelles cuisines ont été aménagées pour recevoir des groupes. Une nouvelle halte-garderie va permettre à de jeunes mamans de prendre quelques heures de répit. Tout le rez-de-chaussée et les cuisines seront accessibles pour les fauteuils roulants. 
Lors de la journée du 26 avril, tout le monde peut se présenter sans réservation et circuler librement dans l’édifice. «Nous sommes très fiers de cette réalisation et nous voulons la partager avec toute la population. Pendant la journée portes ouvertes, nous allons organiser un circuit de visite qui va sensibiliser la population à ce qui se fait au sein de notre organisme», a mentionné Robert Grégoire, directeur général du Centre d’entraide Racine-Lavoie. 
Au sein du comité organisateur de cette journée portes ouvertes, le directeur général compte sur l’appui de Marie-France Cyr, Josée Di Tomasso, Nancy Deschênes et Dominique Bastonier afin de faire un succès de cet événement qui s’inscrit dans un contexte inaugural et de célébration. L’organisation ne manquera pas de souligner la contribution des principaux bailleurs de fonds que sont Centraide Laurentides, la Fondation Émile-Z.-Laviolette et le ministère de la Santé et des Services sociaux. 
La journée portes ouvertes aura donc lieu le lundi 26 avril prochain, de 14 h 30 à 19 h, à la maison Richelieu située au 154, rue Dorion, à Saint-Eustache. Pour plus de renseignements, n’hésitez à contacter le Centre au 450-623-6030 ou encore, vous pouvez consulter le site Internet à l’adresse [www.entraideracinelavoie.org].

Inauguration du Centre d’entraide Racine-Lavoie rénové

Comptes à payer
La liste de comptes à payer au 1er avril 2010 et totalisant 17 834,01 $, soit les sommes suivantes: Comptes payés en vertu d&#8217;une loi, d&#8217;un règlement ou d&#8217;une résolution (14 198,54 $); et Comptes nécessitant l&#8217;autorisation du Conseil (3 635,47 $), a été approuvée avec l’ajout d’un compte, nécessitant l’autorisation du conseil, pour un montant de 5 869,50 $ et payable à l’ordre de Reid et Associés, pour la vérification des opérations de la MRC pour l’exercice financier 2009 et la préparation du rapport financier consolidé. 
Pacte rural 2009
Le rapport annuel d’activités du Pacte rural de l’année 2009 préparé par Audrey Simard, agente de développement rural a été approuvé. 
Par ailleurs, la MRC a consenti à octroyer une aide financière dans le cadre du Pacte rural concernant le projet présenté par la Corporation pour la protection de l’environnement à Mirabel (CPEM), dans le projet intitulé: Développement et mise en valeur du jardin ornemental. La subvention de 121 500 $ sera versée en trois paiements égaux sur une période de trois ans. 
La MRC a également consenti à verser une seconde subvention de 23 400 $, laquelle fait suite à une demande présentée par l’Incubateur d’entreprises agroalimentaires de Mirabel (IEAM), dans le projet intitulé Services d’accompagnement aux incubés. 
Nomination
Mylène Brière a été nommée à titre de secrétaire-trésorière adjointe de la Municipalité régionale de comté de Mirabel. 
Pacte rural 2007-2014
Le Plan de travail daté de septembre 2007 concernant le pacte rural 2007-2014 de la MRC de Mirabel a été remplacé par le Plan de travail et la grille d’analyse relative à l’évaluation des projets et daté du mois de février 2010. Par ailleurs, Jean-Luc Riopel a été nommé à titre de membre du Comité consultatif d&#8217;orientation de la MRC, et ce, jusqu’au 13 novembre 2011. 
Nomination des vérificateurs pour l’exercice financier 2010
Les comptables agréés Reid et Associés ont été désignés à titre de vérificateurs aux fins de l’examen et de la vérification des comptes de la MRC de Mirabel, pour l’exercice financier 2010. 
Protection d’un milieu humide de 13,5 hectares
Il a été résolu d’informer le promoteur Développements Lanak et le ministère du Développement durable, de l&#8217;Environnement et des Parcs que la MRC s’engage à modifier, le cas échéant, le schéma d’aménagement de la MRC de Mirabel pour prévoir un espace naturel ou de conservation correspondant à une superficie de 13,5 hectares et identifié à un plan daté du 10 mars 2010, dans le cadre du projet de développement (phases 2 et 4), dans le secteur Domaine-Vert Nord.

En direct de la MRC Mirabel

«Ce qui fait que le budget du ministre des Finances du Québec est aussi dur envers la classe moyenne c’est, entre autres, le refus d’Ottawa de redonner l’argent auquel le Québec a droit», dénonce le député bloquiste. 
Pour le député bloquiste, l’attitude du gouvernement du Canada, qui refuse de retourner l’argent auquel le Québec a droit en matière de péréquation et d’harmonisation de la TPS, prouve son manque de volonté de travailler pour les intérêts des Québécois. 
«On a appris, à la mi-mars, que le ministre fédéral des Finances opposait un nouveau refus aux demandes du Québec concernant les quelque 2,2 milliards qui lui sont dus pour l’harmonisation de sa taxe avec la taxe fédérale. Jim Flaherty justifie son refus en prétextant que l’harmonisation des taxes n’est pas complète au Québec. Ce que le ministre omet de mentionner, c’est qu’il vient de modifier les compensations de 4,3 milliards. Pourquoi ne manifeste-t-il pas autant d’ouverture d’esprit lorsqu’il est question du Québec?», questionne le député bloquiste. 
Dans ce dossier, Luc Desnoyers dénonce le traitement inégal entre le Québec et l’Ontario. En effet, il semble que la province de l’Ontario ait reçu un meilleur traitement financier. «La dissonance flagrante du ministre fédéral des Finances dans le traitement des demandes du Québec et de l’Ontario a de quoi laisser perplexe. Favorise-t-il l’Ontario parce qu’il a lui-même été ministre des Finances de l’Ontario?», demande le député. 
Selon M. Desnoyers, l’argent qu’Ottawa doit au Québec aurait pu aider convenablement le ministre des Finances du Québec à fermer son budget et, par conséquent, réduire le fardeau financier de la classe moyenne. «Sa réponse au Québec est d’autant plus inexplicable que, dans son plan budgétaire de 2006, Jim Flaherty identifiait cinq provinces qui n’avaient pas harmonisé leur taxe de vente. Le Québec n’y était aucunement mentionné. Or, il prétend maintenant que l’harmonisation n’est pas réalisée au Québec. La seule véritable explication qui se dégage, c’est que les conditions évoquées par le ministre ne sont que des prétextes pour éconduire à nouveau le Québec. Voilà une preuve que le fédéralisme n’est pas rentable pour le Québec», dénonce Luc Desnoyers. 
Le député bloquiste a profité de l’occasion pour présenter le cheminement du projet de loi C-241 du Bloc québécois sur les carences à l’assurance-emploi. «Le régime de l’assurance-emploi s’est constamment éloigné de son but premier depuis les années 1990. Les modifications soutenues par le Bloc québécois visent non seulement à ramener l’assurance-emploi au service des travailleurs, mais aussi à l’adapter à leurs besoins actuels», explique le député, indiquant que, dans sa forme actuelle, l’assurance-emploi pénalise une partie des travailleurs. 
Le porte-parole en matière de Travail, Luc Desnoyers, a présenté les résultats d’une étude rendue publique dernièrement par le Centre canadien de politiques alternatives, où il est question que des milliers de chômeurs canadiens épuiseraient leurs prestations d’assurance-emploi avant de se trouver un nouveau travail. «Cette étude indique que 500 000 personnes au Canada ayant fait une demande de prestations d’assurance-emploi, en 2009, pourraient se trouver à court de prestations avant d’avoir pu se trouver un nouvel emploi», indique le député bloquiste.