Schéma de couverture de risque
(D. C.) – Le conseil municipal de Sainte-Marthe-sur-le-Lac a donné son aval à l’adoption du plan de mise en œuvre local et à la version définitive du schéma de couverture de risque en sécurité incendie (SCRSI). Du même souffle, le conseil municipal confirme au ministère de la Sécurité publique qu’il «est en accord avec le plan de mise en œuvre prévu au schéma en ce qui concerne son territoire et qu’elle s’engage, dans la mesure du possible, à le réaliser dans l’échéancier prévu à cet effet», comme indiqué dans la résolution adoptée à la séance ordinaire du 8 juin dernier. La Ville souligne aussi que «le schéma de couverture de risque reflète les consensus dégagés par l’ensemble des partenaires impliqués en matière d’orientation à privilégier, d’objectifs de protection optimale à atteindre, de stratégies à déployer pour satisfaire les objectifs énoncés». 
Tournois de golf
La Ville de Sainte-Marthe-sur-le-Lac soutient financièrement les tournois de golf de Deux-Montagnes et de Saint-Eustache pour un montant total de 1 780 $. Ceux-ci verseront respectivement les montants amassés dans le Fonds jeunesse, culture et loisirs de Deux-Montagnes et la Fondation Élite Saint-Eustache. La Ville de Sainte-Marthe-sur-le-Lac puisera les sommes à même son fonds communautaire. 
Aide financière
Le conseil municipal marthelacquois accorde une aide financière de 250 $ au Comité d’aide alimentaire des Patriotes pour le soutenir dans la transformation et la distribution de nourriture à une quinzaine d’organismes dans la région, dont plusieurs agissent sur le territoire de la municipalité. 
Alimentation en eau souterraine
La Ville de Sainte-Marthe-sur-le-Lac mandate la firme AECOM dans le cadre du projet d’approvisionnement en eau souterraine pour présenter la documentation de son projet au ministère du Développement durable, de l’Environnement et des Parcs en vue d’obtenir l’autorisation de la Loi sur la qualité de l’environnement. 
Journées de la culture
La Ville de Sainte-Marthe-sur-le-Lac proclame la fin de semaine formée du dernier vendredi de septembre et des deux jours suivants comme «Journées de la culture». La Ville souligne avoir emboîté le pas à l’Assemblée nationale et au milieu culturel, lequel «s’est concerté afin de mettre sur pied un événement annuel visant à regrouper une multitude de manifestations culturelles», précise la résolution adoptée par l’administration de la mairesse Sonia Paulus. Dans la résolution adoptée par le conseil municipal, on indique que «la culture constitue un des principaux facteurs d’identité de la Ville de Sainte-Marthe-sur-le-Lac et de la qualité de vie de ses citoyens».

En point de presse, mardi soir dernier, dans son bureau de circonscription, Benoit Charette est revenu sur les motivations qui ont mené à sa décision et, surtout, sur les conséquences de son geste d’un point de vue local. Souvent, au cours de l’entrevue, M. Charette a mentionné la nécessité d’une trêve, d’une pause sur l’application de la souveraineté «à tout prix et tout de suite – maintenant». 
Sans la menace référendaire, les gens qui partagent les opinions du PQ en matière d’environnement, d’éthique et de ressources naturelles, par exemple, mais sans être souverainistes, auraient eu l’occasion de soutenir le parti au cours des prochaines élections, estime-t-il, mais il a senti que sa position n’obtenait pas d’appui. 
Sur un plan plus local, Benoit Charette annonce qu’il a coupé les ponts avec l’exécutif du PQ de Deux-Montagnes. En tant que député indépendant, il n’a pas l’obligation de se doter d’un exécutif. Et qu’en est-il des électeurs de la circonscription, majoritairement péquistes, qui l’ont porté au pouvoir? Le nouveau député indépendant entend tenir une série de «portes ouvertes» à son bureau à compter de la mi-août ou de la fin août. «Autant ceux qui sont ravis que ceux qui sont frustrés pourront s’exprimer», a-t-il dit. Il est bien évident qu’il ne pourra pas sonder les 47 000 électeurs qui l’ont élu. «Par contre, si à travers ma démarche, je me rends compte qu’il n’y a plus d’appui, il est possible que je quitte mon siège», a-t-il déclaré. 
En fait, au moment d’annoncer sa décision de quitter les rangs du PQ, Benoit Charette a vu trois choix s’offrir à lui: quitter ses fonctions, siéger indépendant jusqu’à la fin de son mandat et tenter sa chance à ce titre au déclenchement des prochaines élections – il le dit lui-même, ses chances d’être alors réélus sont nulles – ou bien joindre les rangs d’une autre formation politique. S’il n’est pas question, pour l’instant, de se joindre au mouvement de François Legault, il «ne ferme pas la porte à la coalition». Il annoncera ses couleurs à l’automne prochain, une fois sa réflexion faite. Au cours de l’entrevue, il a soutenu «avoir senti», chez la population en général et même parmi les membres de longue date du PQ de sa circonscription, «une réflexion quant à la création d’un nouveau parti politique». 
Benoit Charette l’admet, il n’a pas annoncé sa décision dans le meilleur des contextes, alors que quatre autres députés ont claqué la porte du PQ au cours des dernières semaines: «En mars dernier, j’avais songé à quitter, mais j’avais voulu repousser (l’annonce de sa décision) à l’été. Avoir su, j’aurais démissionné il y a trois mois.»
Par contre, son geste ne doit pas être perçu comme un appui aux autres démissionnaires: il le répète, l’engagement de tenir un référendum coûte que coûte au cours d’un premier mandat n’est pas souhaitable et il reste convaincu que Pauline Marois demeure la meilleure chef pour le PQ – elle a mis fin au déclin du vote péquiste qui est observé depuis 1994. «Je ne veux pas être perçu comme celui qui cogne le clou», a-t-il souligné.

Charette sondera ses électeurs

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Cinquante ans après sa fondation, la Chambre de commerce et d’industrie de Saint-Eustache–Deux-Montagnes–Sainte-Marthe-sur-le-Lac compte à son bord 511 entreprises membres qui façonnent le paysage économique de la région. Autant de membres actifs qui, au fil des années et sans l’ombre d’un doute, ont fait de leur Chambre une force distinctive. C’est ça et plus encore qu’on a tenu à célébrer dans le cadre de la Soirée 50e anniversaire, à laquelle près de 300 personnes ont pris part, le 17 juin dernier.
«Si les années ont passé, la Chambre d’aujourd’hui se veut toujours la référence en matière de développement des affaires. Les 50 dernières années sont ponctuées d’évènements marquants, de réalisations importantes, de projets déterminants et de mentions distinctives reçues, dont celle de Chambre de commerce de l’année au Québec, en 2010», a déclaré le président Éric Dugré, dans son discours d’ouverture.
Une organisation sans faille et une fougueuse animation
Tout au long de la soirée, les gens auront eu droit à de beaux moments de nostalgie, alors que les cinq décennies de l’histoire de la Chambre étaient racontées. «Depuis quelques mois déjà, le comité organisateur de cette soirée s’est mis au travail pour vous concocter un évènement mémorable et à la hauteur des gens d’affaires qui la façonnent et la composent», a souligné d’entrée de jeu la présidente du comité organisateur, Geneviève Goyer.
Or, retracer les 50 dernières années en images et dresser la liste des faits marquants de l’histoire de la Chambre, avec pour toile de fond celle du Québec, n’aura pas été une mince affaire. À ce stade-ci, Mme Goyer a tenu à souligner la collaboration de Germain Beauchamp, pour le prêt de photos d’archives pour l’exposition, les hebdos L’Éveil et La Concorde, par l’entremise d’Yves Bourbonnais, pour les archives issues des journaux La Victoire et L’Éveil, ainsi que tous les anciens présidents et membres de la Chambre qui n’ont pas hésité à partager certains de leurs souvenirs.
Quant au ton de la soirée, il aura été fougueux, à l’image de son animateur, Éric Salvail, mais drôlement efficace.
Mentionnons en terminant que parmi les 39 gouverneurs qui ont présidé les destinées de la Chambre depuis 1961, 16 ont assisté à la soirée, dont le président actuel Éric Dugré et bien d’autres avant lui, nommément Stéphane Lacombe, Geneviève Goyer, Janique-A. Danis, Jean-Paul Léonard, Danielle Corriveau, Normand Yargeau, Michel Tremblay, René Goyer, Daniel Morin, Joceline Mattioli, Chantal Longtin, Hélène Miron, Monique Ré, Marie-Suzanne Lauzon et Fernand Théorêt.

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